James Holygates

Caractéristiques générales

Nom : James Holygates
Surnom principal : « The Magnificent Specimen »
Surnoms secondaires : « The God’s Best Creation », « The More Perfect Than Perfection », « Le Prince de la Lutte », « L'Élu De Dieu », « Le Maître »
Taille : 6 pieds 6 pouces
Poids : 325 lbs
Âge : 30 ans (4 mars 1978)
Ville natale : Los Angeles (Californie, États-Unis)

Caractéristiques complémentaires

Attitude : Heel
Style principal : Technicien
Style complémentaire : Puissant
Point fort principal : Intelligent
Point fort secondaire : Endurant
Point faible principal : Son genou gauche (blessure de jeunesse)
Point faible secondaire : Arrogance et égocentrisme

Prise de finition : The Catharsis ((Il s’agit en fait d’une prise qui commence en souplesse que James maintient quelques secondes dans les airs, qu’il transforme par la suite en powerbomb en ce sens qu’il donne une légère poussée à l’adversaire vers l’avant en même temps qu’il le laisse tomber afin que celui-ci retombe sur le dos à la manière d’un powerbomb. C’est comme un Jackhammer, sauf au lieu de finir en Powerslam, il finit en Powerbomb. Cette prise est communément appelée un « Orange Crush Pin». ) (Pour une définition, voir à la fin de la fiche.)

Marques de commerce :
1) The Holy-Fate (James applique un douloureux Crossface à son adversaire.)
2) The Holy-Crush (Un puissant Spine Buster fait en surprise à l’adversaire, sans qu’il ne voit venir le coup.)

Autres caractéristiques

Description physique: L’habit de lutteur de James Holygates est composé d’une paire de shorts courtes moulantes de couleur bleu foncé qui lui arrive au milieu de la cuisse. Sur chaque côté des shorts, on peut y voir un cœur saignant avec une flèche le transperçant. Sur le devant, son nom est écrit en lettres d’or scintillantes. Et sur le derrière, on peut voir « Magnificent Specimen » écrit de la même manière que son nom. Il porte également des bottes noires ainsi qu’un “knee pad” de couleur noir sur le genou gauche. Lorsqu’il ne combat pas, il aime se vêtir de vêtements de marque, puisque l’excès n’existe pas pour lui. Il aime également porter ses verres fumées ainsi que sa fameuse montre Rolex. Il n’est pas rare de le voir aussi en complet veston-cravate signé par les plus grands designers de mode du moment. Côté physique, James a de longs cheveux châtains qui lui arrivent un peu en bas des épaules qu’il attache souvent en queue de cheval, surtout lorsqu’il lutte. Il a les yeux verts, ce qui s’agence très bien avec ses cheveux. Quant à sa musculature, elle est très impressionnante. Elle résulte des nombreuses années de culturisme que James a faites de par le passé. Il n’a aucun tatouage. Toujours bien rasé, c’est un bel homme. James est un homme avec de la classe, du talent et de l’intelligence, mais son arrogance qui prend parfois le dessus est on ne peut plus insupportable!

Entrée: Les lumières de l’aréna se ferment et un seul jet lumineux pointe vers l’entrée des lutteurs. Puis, la chanson « Sad But True » du groupe Metallica retentit et à chaque gros coup de tambour, des petits feux d’artifices blancs brûlent sur les côtés de la rampe des lutteurs. Puis, la musique s’arrête quelques secondes et c’est lorsqu’elle redémarre qu’une grande explosion blanche éclate. C’est d’ailleurs à ce moment que James Holygates sort et fait son entrée, sourire arrogant au visage, marchant sous l’air de la musique avant de grimper dans le ring. Il entre sur le ring, s’échauffe et attend le commencement du combat.

Sur l’écran géant, lorsque la musique débute, nous pouvons apercevoir une main qui laisse tomber plusieurs pièces de monnaie. Puis, la main se referme en un poing serré et l’image change ensuite pour y montrer James Holygates durant ses exploits, de même que pendant certaines poses devant la caméra, entrain de tourner, entrain de se pointer, etc.

Thème d'entrée: Metallica – Sad But True

Histoire du lutteur: « Holygates », nom synonyme de prestige, connu à travers le monde depuis plusieurs années, voire près d’un siècle. James est le fils du richissime Frank Holygates, homme d’affaires et multimilliardaire de longue date connu pour ses multiples investissements fort fructueux et ses nombreuses compagnies et propriétés. Exerçant dans plusieurs milieux et domaines du monde des affaires, tels le pétrole, l’immobilier, le tourisme, les finances, les médias, le commerce de détail et la mode(!), la famille Holygates demeure au sommet de la richesse humaine. James Holygates n’a donc jamais été dans la classe des pauvres et des gens “moyens” de ce monde. Il n’a que baigné dans le luxe durant toute sa vie. Il est donc très instruit, ayant fréquenté les meilleurs institutions d’enseignement lors de sa jeunesse (notamment un brillant passage à l’université Harvard (Harvard Business School) où il obtint son M.B.A.), et reflète l’image de l’homme modèle qui a réussi tous ses buts dans la vie. Il est quelqu’un de franc et ne ménage pas ses mots pour dire ce qu’il pense. Il préfèrera entamer une guerre verbale afin de fermer le clapet aux ingrats qui lui nuisent avant de, si le cas survient, passer à l’acte et d’aller donner une bonne raclée aux imbéciles qui lui rendent la vie dure, raclée qu’ils se souviendront sans doute. Il est évident que sa stature l’avantage dans une grande majorité des situations, cette stature étant d’ailleurs une grande fierté pour lui puisqu’elle résulte des nombreuses années de culturisme et de perfection esthétique exercées par le « God’s Best Creation ». Il est à noter que James n’a jamais participé à un concours de culturisme et pratiquait cet art pour le simple plaisir de le faire. Avant d’entamer sa carrière de lutteur, James travaillait à titre d’adjoint de son père. Il créa également la Holygates Pictures Inc., une petite compagnie cinématographique produisant divers types de divertissements télévisuels (films, parodies, sketchs, émissions de radio, etc.). Ce qui le poussa à faire irruption dans le monde de la lutte est simplement la recherche de sensations fortes et de défis. Cédant sa place dans la compagnie de son père, il se lança dans l’univers de la lutte. Avantagé par un passé de culturiste, il n’eut aucun problème à prendre sa place. James se plait à s’appeler le " Magnificent Specimen ", le " God’s Best Creation ", le " More Perfect Than Perfection " ainsi que le "Prince de la Lutte " afin de démontrer toute sa splendeur et sa polyvalence inouïe. Lorsqu’il sent une grande dose d’arrogance dans l’air, il aime bien citer sa fameuse phrase : « HOLY FATHER, HOLY FATES, NOTHING MATCHES HOLYGATES! », phrase qui représente beaucoup et qui démontre bien sa grande arrogance. Une autre de ses fameuses phrase est : « You’re Nothing Without The Magnificent! ». Le « Prince de la Lutte » est surtout connu pour sa brillante carrière au sein de l’ALNF où il décrocha le titre de champion Triple-Couronne en un tour de main. Il fut le détenteur du record de longévité d’un titre de champion (207 jours), toutes catégories confondues. Il décrocha également le titre de champion mondial lors du tout premier Nightmare-In-Jail Match de l’histoire de la lutte, combat qui fut une dure épreuve. Son tempérament excessif fut à son apogée durant ce règne. Côté vie privée, James partage sa vie avec Sandra Elizabeth Lloyd, la femme qu’il aime. Il se sont rencontrés il y a longtemps puisqu’il semble que leur union est la suite d’un amour intense de jeunesse. Ils sont inséparables. En plus d’être le mari de Sandra, James est également père. Sandra a accouché d’un joli petit garçon nommé Thomas en Décembre 2005. James est au paradis avec son fils et est on ne peut plus heureux.

La raison pour laquelle Holygates revient à la lutte est relativement complexe. À la suite d’un scandale financier provoqué par un associé de son père, M. Frank Holygates a dû vendre une part d’actions d’une compagnie en question afin de ne pas entacher sa réputation. Plusieurs millions de dollars de perte pour la famille Holygates, mais cela était mieux que d’être relié à une fraude monumentale. Après diverses recherches, il s’est avéré que l’accusé en question avait fraudé non seulement ses associés, tels Frank Holygates, mais également plusieurs de ses clients, dont le richissime Orval Ménard. Avec preuves à l’appui, les associés du fraudeur ont été écartés du dossier, blancs comme neige, et les clients floués ont intenté de nouvelles poursuites envers le fraudeur. Et comme si ce n’était pas suffisant, l’État découvrit que le fraudeur s’avérait également être le grand manitou d’un petit réseau de commerce de stupéfiants. Bref, inutile de dire que le criminel est désormais derrière les barreaux pour un long moment.

Ayant connu Orval par le passé grâce à certains démêlés à l’ALNF, Holygates connaissait déjà son tempérament explosif. Seulement, puisqu’il était le principal président de la branche des finances et de comptabilité pour la compagnie de son père, Holygates n’eut d’autre choix, malgré lui, que de faire affaires avec Orval Ménard pour régler l’histoire de fraude. Il faut l’avouer : Holygates n’aimait pas Orval, on pourrait même dire qu’il le détestait. Seulement, travail oblige, les deux hommes ont dû, longuement, étudier le cas et interagir ensemble. Disons simplement que le temps a fait son travail, et, à force de parler et de communiquer, ils ont fini par trouver un terrain d’entente. Heureux de leur réussite, ils fêtèrent avec un bon vin dans un restaurant chic que possédait Orval. Et comme l’ambiance était à la fête, l’alcool coula à flots et la haine se dissipa pour laisser place à une certaine harmonie qui, au fil du temps, devint de l’amitié. On se pardonna des deux côtés les excès de folie et de haine vécus dans le passé et on remis tout à zéro. L’amitié Holygates-Ménard venait de naître.

Aujourd’hui, Holygates fait partie de la OMGF. Orval Ménard, oeuvrant dans le domaine de la lutte depuis longtemps, faisait déjà partie d’une certaine fédération nommée la WWIF. Il avait réussi à prendre une place importante et à ramener auprès de lui de grands noms de la lutte, tels Ruddy, James Lowman et Tony Tyler. Ménard fut une offre à Holygates afin de rejoindre sa troupe que ce dernier ne put refuser. C’est donc pourquoi Holygates fait aujourd’hui partie du clan de Ménard, la OMGF. De retour dans le ring, le « Prince de la Lutte » est prêt à tout pour redécorer sa taille d’une merveilleuse ceinture dorée, brillante de mille feux… Il est déterminé, agressif et confiant. Un mélange certain ne pouvant le mener qu’à de glorieux moments.

Autres détails :

Catharsis (Définition): Selon le dictionnaire, la définition de « Catharsis » se lit comme suit : 1. « « Purification » produite chez les spectateurs par une représentation dramatique, selon Aristote. 2. PSYCHAN. Décharge émotionnelle libératrice, liée à l’extériorisation du souvenir d’événements traumatisants et refoulés. » Ce que James Holygates veut signifier en nommant sa prise de finition « Catharsis », est que, comme le dictionnaire le mentionne, c’est une purification chez les spectateurs. Une sorte de leçon, afin de leur démontrer qu’il est LE seul et unique lutteur talentueux. Il les purifie d’idées démoniaques selon lui, comme croire que les autres lutteurs sont meilleurs que lui…! James punie par le même moment le lutteur qui subie sa prise de finition. D’après lui, il purifie tout le monde, afin qu’il soit l’unique Être suprême. Il démontre quelque chose d’extrême (sa prise de finition) afin de décourager les autres qui voudraient tenter de lui nuire. Une sorte de complexe de supériorité direz-vous? Vous avez sans doute raison.

Titres remportés et tracé de carrière :

-Champion Mondial Unifié de l’ALNF (78 jours)
-Champion Triple-Couronne de l’ALNF (207 jours)
-Champion Par Équipe Unifié de l’ALNF (23 jours) avec Job Griever
-Champion TV de la OMGF
-Leader et créateur du clan « Insolvency Creators »
-Membre de la Genious Factory
-Gagnant du tout premier Nightmare-In-Jail Match de l’Histoire de la lutte